Depuis mercredi, tous les soirs, immanquablement, vers 17h, il commence à pleuvoir.
Celà dure jusqu'à la nuit tombée. Je ne sais pas si on peut appeler ça la mousson, puisqu'elle est sensée commencer en juin, mais en tout cas c'est un peu pénible.
On espère que ce weekend on aura du beau temps quand même, entre la canicule de 11h à 16h et la pluie de 17h à 22h...
Re-Bonjour tout le monde !
Il y a 7 ans
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2 commentaires:
Ponctualité...
Jean-Yvon 57, lecteur zurichois.
Cher Bertrand,
je me permet de vous écrire pour vous soutenir sans retenue dans votre combat pour la ponctualité. Je trouve proprement scandaleux que cette année, sans pévenir, la mousson se pointe tranquillement 10 jours en avance. Celà ne se fait pas lorsque l'on est invitée. Encore une vertu qui se perd, et je le constate même ici, dans notre belle helvetie où la ponctualité suisse n'est tout bonnement plus ce qu'elle était...
Amitiés,
J-Y
Vous critiquez, à juste titre, la décadence de notre temps, où correction et politesse ne riment plus avec ponctualité. J'aimerais apporter ma pierre à l'édifice de votre diatribe en vous contant ce qu'il en est de notre jeunesse. Chercheur à Grenoble, je donne, pendant l'année, deux mois de cours dans une école un peu au Sud de Paris (quelle idée me direz-vous de quitter nos contrées alpines pour s'empaler sur les lances de la chienlit parisienne). Or, figurez-vous que pendant ces 2 mois de cours, je n'ai pas vu une fois un de mes élèves, David L, pour ne pas le nommer à l'heure à un de mes cours. Et lui n'arrivait pas en avance comme la mousson indienne, mais avec un quart d'heure à vingt minutes de retard. Puis, non content de ce seul manque de correction, il quittait également mon cours avec une heure d'avance... Un fieffé coquin... qui finira mal, si vous voulez mon avis.
Voilà notre jeunesse, voilà l'avenir du monde. Pauvre de nous !
Sur ce, je vous laisse, en espérant que vous aurez apprécié cette modeste contribution.
Jacky Stas, 46 ans, Grenoble.
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