Comme dit dans l'article de Bertrand, le trajet Coorg-Bangalore est court. Arrivée donc à 4h00 lundi matin à la gare de bus. Arrivée au Raman Institute à 4h30. Arrivée prévue dans mon lit à 4h32. Echec mission. La porte qui donne sur le hall était fermée de l'intérieur, avec un loquet que ma clé ne pouvait ouvrir. La sécurité n'a rien su faire non plus, les mecs de la cantine qui nettoient les chambres encore moins. A part tambouriner comme des malades sur la porte, sans succès. Du coup, je suis allé dans mon labo, pensant faire la relève de la garde de la chambre à vide. Raté, c'était au tour de deux filles, qui ne pouvaient pas trop rentrer seules la nuit. De retour devant la porte, quelqu'un l'avait ouverte. J'ai pu dormir dans mon lit.
Hier, retour dudit tour de garde vers 23h. Porte à nouveau bloquée. Puisque la veille ça avait marché, j'ai tambouriné très fort et très longtemps. Sans succès cette fois là. Du coup, aware du problème, ils m'ont ouvert une chambre d'une autre guest house.
Ce matin, porte de ma guest house ouverte.
On verra ce soir, mais je pense qu'ils vont faire quelque chose, ça pourrait commencer à en énerver certains (moi, ça va, pour l'instant je le prends à la rigolade).
Au fait, pour ceux qui ne comprennent pas le titre, à Polytechnique il existe en fin d'année une remise d'une vingtaine de prix nommés "khôtes". J'ai été élu pour la khôte clochard, qui signifie "dort n'importe quand, n'importe où".
Prochaines nouvelles bientôt.
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