mardi 9 décembre 2008

Aïd-el-kébir

Pour des raisons culturelles on en parle moins que Saint-Nicolas, en Europe et aux Pays-Bas, mais pourtant c'est beaucoup plus important pour environ 20% de la population mondiale, presque 10% des Français et 5% des Néerlandais. Arrivant à point nommé à la fin du hajj (cinquième pilier de l'islam), la fête de l'Aïd-el-kébir est l'occasion pour nombres de musulmans de se retrouver à La Mecque autour de la kaaba, immense cube noir sensé symboliser la pierre sur laquelle Abraham allait sacrifier son fils Isaac (heureusement que le bon-Dieu était là pour lui rappeler que le mouton a un meilleur goût que le petit d'homme).
Pour se faire une idée de cette rencontre spirituelle, un article du Monde plutôt bien écrit (et pas polémique malgré ce que tentent de dire certains commentaires au sus-dit billet).

Sur ce portofolio, on se rend compte de pourquoi chaque année des gens y laissent leur vie. C'est tout simplement Lourdes, Amritsar, la gay-pride ou un France-Italie au Stade de France réunis en un même point de l'espace-temps.

Impressionnant.

PS : attention ce billet est signalé sans contenu falsifié. Enfin je crois...

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Gay-pride? Really? Maybe another word would be more appropriate :-)

Anonyme a dit…

D'Yvonne, à Trifouillis les blés (alias bdka)
Moi, je sais comment que ça se distingue, le vrai du faux dans les articles de ce pseudo reporter (ah, la jeunesse se perd !)
Si ça existe à Trifouillis les blés, ça existe. Et si ça existe pas à Trifouillis les blés, alors, c'est trop suspect.
Par exemple ct'invention du Hajj et de l'Aïd El Kebir, déjà que ces noms, y sont pas français ni même pas d'hollandais ... alors, comment voulez-vous qu'on y croit ? Et les reportages photo d'un journal dévergondé comme Le Monde, j'y crois pas plus, c't'y pas. Avec le numérotique et le vuirtel, comme qu'y disent maintenant, n'importe quoi qu'on peut le faire, c'est moi qu'y vous l'dis ! St'ail et ste hache, c'est encore un truc de ces musulmans islamistes pour qu'on croit qu'y font aut'choses que d'grimper aux arbres, moi j'vous l'dis, pour sûr !